Focus de la semaine

Fin de la campagne électorale lundi avant les élections prévues ce mercredi 20 décembre sur l’ensemble du pays. Pendant un mois, les candidats à la présidentielle, aux législatives nationales, provinciales et municipales ont partagé avec la population leurs programmes et visions et sollicité leurs voix. Aux législatives nationales, le taux de candidatures féminines est estimé à 17%. Pendant ce temps, des rumeurs remettant en question la capacité de la femme à battre campagne sont répandues au sein de la communauté.

Fact-checking

« La femme une fois élue et qu’elle a une position supérieure à son mari va se constituer en chef au niveau du foyer et il y aura frustration du mari et la rupture de l’union conjugale est inévitable ».

Réponse :

Le code de famille congolais, dans son article 444 stipule que « le mari est le chef du ménage. Il doit protection à sa femme ; la femme doit obéissance à son mari ».

A cet effet, la femme, quelle que soit sa position sociale, doit respect à son mari qui est le chef de famille.

En plus, le mariage est une convention de deux individus qui acceptent de se prendre comme époux et épouse. C’est ainsi que la loi garantit sa liberté et sa stabilité. C’est-à-dire que les deux époux s’acceptent et se respectent mutuellement, quelles que soient les occupations de l’un et de l’autre et respectent leur convention quoi qu’il advienne.

Même le principe ne la Parité n’autorise pas à la femme l’égalité dans le foyer. La parité signifie que chaque sexe est représenté à égalité dans les institutions publiques.

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