Focus
Les élections sont maintenues au 20 décembre, insiste la Commission électorale nationale indépendante. Alors que cette date approche, les déplacés qui ont fui Lubunga, commune rurale de la ville de Kisangani, dans la province de la Tshopo, redoutent de ne pas participer au vote. Ils sont dans les différents sites, certains ces déplacés ont perdu leur carte d’électeur et ne savent plus obtenir le duplicata. En plus, ils ne savent pas retourner dans leurs milieux pour voter, craignant l’insécurité.
Fact Checking
« La province de la Tshopo est menacée, envahie par les Rwandais en collaboration avec Madame la gouverneure, Madeleine Nikomba, la population de la commune de Lubunga meurt chaque jour ».
Réponse:
Cette affirmation n’est pas vraie. Aucune source officielle n’a annoncé une quelconque présence des Rwandais dans la province de la Tshopo.
Par ailleurs, un contingent de militaires kényans se trouve à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, depuis le mois de février 2023, dans le cadre de la coopération bilatérale.
« Le contingent qui est ici à Kisangani est différent des forces de l’EAC. Il s’agit pratiquement d’un partenariat entre les deux armées qui n’a rien à voir avec ce qui se passe sur le terrain des opérations », avait déclaré le commandant de la 31e région militaire, général de brigade Timothée Mujinga, le 1er mars dernier, rapportait Radio Okapi.
La précision de cet officier des FARDC faisait suite à la réaction de la population boyomaise contre la présence des troupes étrangères sur la ville.
Focus de la semaine
Les élections sont maintenues au 20 décembre, insiste la Commission électorale nationale indépendante. Alors que cette date approche, les déplacés qui ont fui Lubunga, commune rurale de la ville de Kisangani, dans la province de la Tshopo, redoutent de ne pas participer au vote. Ils sont dans les différents sites, certains ces déplacés ont perdu leur carte d’électeur et ne savent plus obtenir le duplicata. En plus, ils ne savent pas retourner dans leurs milieux pour voter, craignant l’insécurité.
Les élections sont maintenues au 20 décembre, insiste la Commission électorale nationale indépendante. Alors que cette date approche, les déplacés qui ont fui Lubunga, commune rurale de la ville de Kisangani, dans la province de la Tshopo, redoutent de ne pas participer au vote. Ils sont dans les différents sites, certains ces déplacés ont perdu leur carte d’électeur et ne savent plus obtenir le duplicata. En plus, ils ne savent pas retourner dans leurs milieux pour voter, craignant l’insécurité.
Fact-checking
« La province de la Tshopo est menacée, envahie par les Rwandais en collaboration avec Madame la gouverneure, Madeleine Nikomba, la population de la commune de Lubunga meurt chaque jour ».
Réponse :
Cette affirmation n’est pas vraie. Aucune source officielle n’a annoncé une quelconque présence des Rwandais dans la province de la Tshopo.
Par ailleurs, un contingent de militaires kényans se trouve à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, depuis le mois de février 2023, dans le cadre de la coopération bilatérale.
« Le contingent qui est ici à Kisangani est différent des forces de l’EAC. Il s’agit pratiquement d’un partenariat entre les deux armées qui n’a rien à voir avec ce qui se passe sur le terrain des opérations », avait déclaré le commandant de la 31e région militaire, général de brigade Timothée Mujinga, le 1er mars dernier, rapportait Radio Okapi.
La précision de cet officier des FARDC faisait suite à la réaction de la population boyomaise contre la présence des troupes étrangères sur la ville.
« La province de la Tshopo est menacée, envahie par les Rwandais en collaboration avec Madame la gouverneure, Madeleine Nikomba, la population de la commune de Lubunga meurt chaque jour ».
Réponse:
Cette affirmation n’est pas vraie. Aucune source officielle n’a annoncé une quelconque présence des Rwandais dans la province de la Tshopo.
Par ailleurs, un contingent de militaires kényans se trouve à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, depuis le mois de février 2023, dans le cadre de la coopération bilatérale.
« Le contingent qui est ici à Kisangani est différent des forces de l’EAC. Il s’agit pratiquement d’un partenariat entre les deux armées qui n’a rien à voir avec ce qui se passe sur le terrain des opérations », avait déclaré le commandant de la 31e région militaire, général de brigade Timothée Mujinga, le 1er mars dernier, rapportait Radio Okapi.
La précision de cet officier des FARDC faisait suite à la réaction de la population boyomaise contre la présence des troupes étrangères sur la ville.
