Après les résultats définitifs de la présidentielle, les politiques sont-ils prêts à taire les divergences pour la cohésion sociale ?
Focus
La Cour constitutionnelle a rendu son arrêt le mardi 9 janvier dernier, publiant les résultats définitifs de la présidentielle remportée par Félix Tshisekedi avec 73,47 % de suffrages. L’opposition n’admet toujours pas ces résultats qu’elle considère issus des fraudes organisées par le pouvoir.
Fact Checking
« Les katangais doivent se désolidariser du pouvoir de Kinshasa ».
Réponse :
Ce discours revêt un caractère de balkanisation.
En effet, parler de la balkanisation, c’est parler du morcellement politique d’un pays.
Selon Luc Lutala, expert des questions électorales, c’est de la responsabilité des leaders de préserver la cohésion sociale ou non parce que le positionnement des militants est aligné sur le positionnement des leaders.
« Les propos de haine tribale sont à la fois une manifestation de frustration post-électorale, une consolidation des crises interethniques, intertribales qu’on a observée pendant la campagne et pendant le scrutin et qui est un mauvais signe sur la cohésion nationale. C’est un signal très fort, du travail qu’il faut faire sur la cohésion nationale et sur la responsabilité des leaders, à appeler leurs militants à respecter les consignes et à ne pas s’en prendre aux autres », a dit Luc Lutala à Sango ya Bomoko.
Quoi qu’il en soit, Luc Lutala affirme que le Congo est un et qu’il faudrait que les leaders soient capables d’appeler au sentiment d’unité nationale, au sentiment de cohésion, au sentiment de respect de l’autre même s’ils doivent appeler à la revendication des leurs droits.
Focus de la semaine
La Cour constitutionnelle a rendu son arrêt le mardi 9 janvier dernier, publiant les résultats définitifs de la présidentielle remportée par Félix Tshisekedi avec 73,47 % de suffrages. L’opposition n’admet toujours pas ces résultats qu’elle considère issus des fraudes organisées par le pouvoir.
La Cour constitutionnelle a rendu son arrêt le mardi 9 janvier dernier, publiant les résultats définitifs de la présidentielle remportée par Félix Tshisekedi avec 73,47 % de suffrages. L’opposition n’admet toujours pas ces résultats qu’elle considère issus des fraudes organisées par le pouvoir.
Fact-checking : « Les katangais doivent se désolidariser du pouvoir de Kinshasa ».
Ce discours revêt un caractère de balkanisation.
En effet, parler de la balkanisation, c’est parler du morcellement politique d’un pays.
Selon Luc Lutala, expert des questions électorales, c’est de la responsabilité des leaders de préserver la cohésion sociale ou non parce que le positionnement des militants est aligné sur le positionnement des leaders.
« Les propos de haine tribale sont à la fois une manifestation de frustration post-électorale, une consolidation des crises interethniques, intertribales qu’on a observée pendant la campagne et pendant le scrutin et qui est un mauvais signe sur la cohésion nationale. C’est un signal très fort, du travail qu’il faut faire sur la cohésion nationale et sur la responsabilité des leaders, à appeler leurs militants à respecter les consignes et à ne pas s’en prendre aux autres », a dit Luc Lutala à Sango ya Bomoko.
Quoi qu’il en soit, Luc Lutala affirme que le Congo est un et qu’il faudrait que les leaders soient capables d’appeler au sentiment d’unité nationale, au sentiment de cohésion, au sentiment de respect de l’autre même s’ils doivent appeler à la revendication des leurs droits.
Fact Checking
« Les katangais doivent se désolidariser du pouvoir de Kinshasa ».
Réponse :
Ce discours revêt un caractère de balkanisation.
En effet, parler de la balkanisation, c’est parler du morcellement politique d’un pays.
Selon Luc Lutala, expert des questions électorales, c’est de la responsabilité des leaders de préserver la cohésion sociale ou non parce que le positionnement des militants est aligné sur le positionnement des leaders.
« Les propos de haine tribale sont à la fois une manifestation de frustration post-électorale, une consolidation des crises interethniques, intertribales qu’on a observée pendant la campagne et pendant le scrutin et qui est un mauvais signe sur la cohésion nationale. C’est un signal très fort, du travail qu’il faut faire sur la cohésion nationale et sur la responsabilité des leaders, à appeler leurs militants à respecter les consignes et à ne pas s’en prendre aux autres », a dit Luc Lutala à Sango ya Bomoko.
Quoi qu’il en soit, Luc Lutala affirme que le Congo est un et qu’il faudrait que les leaders soient capables d’appeler au sentiment d’unité nationale, au sentiment de cohésion, au sentiment de respect de l’autre même s’ils doivent appeler à la revendication des leurs droits.
