La loi électorale en vigueur encourage les formations politiques à aligner plus de candidatures féminines aux élections législatives nationales. Son article 13 stipule : « La liste qui aligne 50% au minimum de femmes dans une circonscription est exemptée du paiement du cautionnement ». Alors que la période consacrée au dépôt des candidatures pour la députation nationale est en cours, Vox Congo analyse avec les femmes membres des partis politiques et des organisations de la société civile les enjeux autour des candidatures féminines.

Fact Checking : « Donc, selon l’article 9 tiret 6, quelqu’un peut ne pas avoir un niveau d’études requis mais justifié d’une expérience dans un domaine et postuler ?».


Pour chaque élection, à quelque niveau que ce soit, un niveau d’étude est requis. Pour postuler à la députation nationale, il est requis d’avoir un diplôme d’études supérieures ou universitaires ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins cinq ans dans le domaine politique, administratif ou socio-économique (art.120 L.E)

Pour postuler à la députation provinciale, l’une des conditions, est d’être titulaire d’un diplôme d’études supérieures ou universitaires ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins cinq ans dans le Domaine politique, administratif ou socio-économique

 (Article 148, L.E)

Pour postuler aux élections locales, il faut être titulaire d’un diplôme de fin d’études secondaires ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins trois ans dans le domaine politique, administratif ou socio-économique (article 210, L.E).

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